Au moment de souffler la bougie de son premier anniversaire, Franc-tireur a remporté son pari au-delà de toutes attentes. Il rassemble aujourd'hui 18 000 abonnés (dont 5000 digitaux) et vend chaque semaine entre 20 000 et 30 000 exemplaires en kiosques.
C’est une réussite et un bel accomplissement qui doit beaucoup à l’énergie des Franc-tireurs réunis autour de Caroline Fourest (Directrice), Raphaël Enthoven (Conseiller de la rédaction), et Pauline Delassus (Rédactrice en chef), pour cette aventure éditoriale hors normes.
Franc-tireur est né de l’envie d’offrir un journal incisif et mordant au service de la raison et de la nuance, dans un esprit de résistance aux extrêmes, à la polarisation, au culte de l'anecdotique et de l’émotion, au fanatisme et aux superstitions, au complotisme et à la désinformation.
Ses contributeurs, éclairés et engagés, viennent de tous horizons. Ils sont parfois journalistes, parfois philosophes, syndicalistes, ingénieurs, juristes ou artistes. Tous ont à cœur de mettre leur plume au service d’une pédagogie commune et d'un parler vrai.
Dans les mois qui viennent, la tribu va continuer à s’élargir puisque nous avons le bonheur d’accueillir des signatures comme les philosophes Giuliano Da Empoli (lauréat du Grand Prix du Roman de l’Académie française), Julia De Funès, Étienne Klein, ou la romancière Tania de Montaigne.
Nous avons également demandé à un chef d’État et ancien professeur d’économie, François Hollande, de partager occasionnellement ses réflexions sur la géopolitique ou l’économie.
Pour célébrer cet anniversaire, pour une journée, le 16 novembre, tous les articles seront en accès libre sur le site. L'occasion de découvrir les enquêtes, les dossiers, le « franc-parler » de Caroline Fourest, l’édito de Raphaël Enthoven, le « dernier mot » de Christophe Barbier, et toutes nos rubriques phares : le « complot de la semaine » de Rudy Reichstadt, l’« histoire » de Jean Garrigues, notre « bouillon » de culture et bien sûr les fameux « portraits qui fâchent ».
