Parution le jeudi 20 mai 2021
LE N°4 DE « S », ENFIN EN KIOSQUES !
Bien-être physique, moral et amoureux... santé, forme et sérénité ! Pour ce 4ème rendez-vous de « S, Le Magazine de Sophie Davant », j’ai souhaité réfléchir aux clefs qui peuvent nous y mener avec des experts, des lectrices, mes invitées - Sheila, Tatiana de Rosnay et Barbara Pravi - et à l’aune de mes expé-riences personnelles.
Raoul en est une pour moi. Débarqué dans ma vie il y a quelques mois, dès les premières minutes, ce fut l’amour fou ! Mon bichon havanais et moi, nous sommes reniflés et adoptés d’emblée. Oui, il y a des contraintes, il faut s’organiser… Mais votre compagnon vous obligera à le sortir, donc à faire de l’exercice, motivée par l’envie de lui faire plaisir. Se balader en compagnie d’un chien se révèle également un moyen pour entamer des conversations et s’ouvrir aux autres : c’est aussi efficace qu’un site de rencontres. Il partagera vos bonheurs, adoucira vos soucis, les drames de la vie… Ne vous privez pas de ce plaisir !
« Je chante pour ceux qui m’aiment, pas pour les cons. » Pour ce numéro, Sheila, qui a traversé tant d’épreuves, de « la rumeur » qui a hanté sa vie, fomentée par son ex-manager, au décès de son fils Ludo, m’a accordée une interview longue et intense à l’image de ses 60 ans de carrière. Une résiliente, un exemple ! Son conseil ? « On barre de trois grands traits le mot « senior » et, à la place, on met « major »… Quant au mot « retraite », on le supprime tout bonnement. Alors, mesdames, on ne reste pas chez soi à ne rien faire ! ».
Et parce que manger est un plaisir et que je n’aime rien plus que rire avec des amis, pour clore ce numéro, ma fille, Valentine, nous offre 3 de ses recettes cultes à partager : ses asperges rôties, sa poêlée de champignons aux chips d’ail et sa tarte au chocolat régressive.
Le bonheur tient souvent à peu de choses... !
ENTRETIEN INTIME AVEC SHEILA
« La rumeur a détruit dans ma vie. La portée de la phrase « Sheila est un homme », que Claude Carrère a balancée alors que j’avais 17 ans [...] fut énorme, un vrai séisme. Un traumatisme pour moi - et pour mes proches - qui ne m’a jamais lâchée.
« Ludo est mort en juillet 2017. J’avais une scène en août… et je l’ai faite. [...] Lorsque l’on perd son enfant, on ne peut pas s’empêcher de croire que l’on s’est trompé. Je me suis demandé pourquoi il avait choisi ce chemin. Je
n’ai pas pu l’arrêter. Quand la drogue s’en mêle… C’est très compliqué de se battre contre la poudre.
« À mon époque on me sifflait dans la rue, j’étais ravie… Après, il y avait des gros balourds comme Jean-Claude Brialy, qui disait, quand tu arrivais près de lui : « Tiens, voilà maman »… Mais bon, à l’époque des yéyé, c’était très fille d’un côté et très garçon de l’autre. Johnny, Sardou, Eddy Mitchell n’étaient pas à proprement parler des modèles de féminité, c’était plutôt la virilité qui régnait…
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