LE N°2 DE "S" ENFIN EN KIOSQUES
Parution le jeudi 21 janvier 2021
Après un lancement aussi tonitruant que motivant, soutenu par les médias et plébiscité par plus de 150 000 Françaises, le n°2 de « S, Le Magazine de Sophie Davant » paraît enfin ! Avec pour fil rouge, la transmission entre générations, thématique chère à Sophie. En couverture, Sophie a -non sans mal- réussi à faire poser, auprès d’elle sa discrète fille Valentine ! Sophie imprime dans ce 2nd numéro le ton résolument différent de « S » : de longues interviews intimes avec des personnalités inspirantes, un shooting mode incarné par les lectrices -mères et filles-, des sujets psycho, sociétaux, sexo... traités avec exhaustivité. Et surtout sans tabou !
AU SOMMAIRE
mère-fille : Sophie Davant et sa fille,
Valentine, parlent de leur relation et de la transmission
intergénérationnelle.
« La transmission, c’est d’abord donner à ses enfants l’envie de se réaliser par eux-mêmes… »
« Je pense que Valentine et son frère, Nicolas ne sont pas des gamins pourris gâtés. Avec leur père, [Pierre Sled], on leur a inculqué tout de suite la notion de travail et la valeur de l’argent » .
« Ils ont eu une nounou dont ils étaient très proches et qui est restée longtemps chez nous. Ça a été très dur pour moi, car elle en faisait plus qu’elle ne devait avec eux. Elle avait mon âge, et, quand je rentrais du boulot, je me sentais un peu étrangère. J’en ai beaucoup souffert » .
« J’ai aussi fait des choix. Je suis restée longtemps à la météo pour pouvoir passer du temps avec eux, pendant que Pierre accumulait les expériences. Ce n’étaient pas forcément des choix très agréables à l’époque, mais je sais pourquoi je les ai faits » .
« Ces derniers temps, même si j’ai adoré chaque instant avec eux, j’ai eu plus de mal à cohabiter avec les adultes. J’avais l’impression d’être chez eux. Ça a sûrement été amplifié par le fait que je ne suis plus avec leur père » .
« Avec leur père, les enfants pouvaient passer des repas entiers à se moquer de moi ! Aujourd’hui, ils s’appellent et s’envoient des vidéos entre eux. Vous voyez le genre ? [Elle rit.] »
« Il m’arrive souvent de leur demander leur opinion sur tel ou tel choix professionnel, tel engagement. Je leur ai aussi, par le passé, demandé leur avis sur des amoureux potentiels » .
C’est votre histoire : Sophie, épaulée par une psychologue répond dans « S » à une des nombreuses lettres envoyées par ses lecteurs. Le cri de douleur de Lydie Léa, dont le fils a coupé les ponts la privant aussi de ses petits-enfants l’a touchée.
Grand entretien : Sylvie Vartan raconte à son amie Sophie, la peur en Bulgarie, la petite chambre d’hôtel partagée avec ses parents et son frère à Paris, son voyage de noce avec Johnny, son fils David, ses 3 petits-enfants, Darina, Tony, son amour...
Elisabeth Badinter, sans tabou « Celles qui ne veulent pas d’enfants sont vues comme des égoïstes ! Je pense qu’en réalité elles sont jalousées par les parents contraints par leur vie de famille. « Quand on ne veut pas de l’enfant que l’on porte, une forme d’hostilité éclot in utero. Je ne comprends d’ailleurs toujours pas pourquoi les hommes ne veulent pas assumer aussi la contraception, ni pourquoi la société ne veut pas l’entendre. Car, après tout, ils ont aussi leur mot à dire sur leur désir d’enfant.
Michel Onfray, libre penseur Société-politique : du « Casse-toi pauv’con » aux éructations de Trump, pourquoi les politiques nous parlent si mal ? Comment cela peut-il être admis ?
Sexo : magique masturbation !
Santé : fuites urinaires | Psycho : transidentité Beauté : les secrets de la coupe coiffée-décoiffée de Sophie !
